Depuis quelques jours, c’est un vent « nouveau » qui souffle dans le
métier de journalisme chez nos confrères birmans.
En effet, « les journaux et magazines ne sont plus obligés de soumettre leurs articles sur les sujets politiques et religieux à un comité de censure pour autorisation. Il reste à voir comment cette mesure sera appliquée concrètement. La suspension récente de deux hebdomadaires tend à démontrer que le gouvernement ne veut pas totalement abandonner son contrôle de la presse ». En dépit de cette « semi-ouverture », les confrères sont décidés à maintenir la pression pour faire blocage aux fossoyeurs de la liberté et d’expression et conquérir pour une fois de bon la cette liberté.
On se rappelle qu’il y a encore quelques semaines, deux hebdomadaires
de la Birmanie avaient été suspendus pour n’avoir pas soumis leurs
articles à la censure préalable. Les confrères n’ont recommencé à
paraître que suite aux manifestations de leurs collègues.
Ametbao
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